Revue de presse (suite)
On signale un article du Monde daté du 17 novembre, un entrefilet dans le Figaro du même jour, et surtout un article très complet dans le Libération du 18 novembre, signé de Véronique Soulé (qui s'était déplacée à l'inauguration de l'exposition le 15 novembre).
On ne peut s'empêcher de relire avec délectation quelques passages de ce charmant portrait dressé en l'honneur de Monique Canto-Sperber le 6 octobre dernier, par un journaliste zélé des Echos :
On ne peut s'empêcher de relire avec délectation quelques passages de ce charmant portrait dressé en l'honneur de Monique Canto-Sperber le 6 octobre dernier, par un journaliste zélé des Echos :
"Rares sont ceux à avoir connu l'Ecole normale supérieure (ENS) sous autant de facettes. La première rencontre de Monique Canto-Sperber avec l'établissement qu'elle dirige aujourd'hui remonte à... 1974. Ce " produit de l'école républicaine française " y est alors admise au terme d'une brillante scolarité. [...] Aux commandes de l'ENS depuis l'hiver dernier, Monique Canto-Sperber souhaite que l'école "redevienne le lieu où les préjugés de pensée sont défaits ". Mais cette spécialiste de philosophie morale et politique, traductrice émérite de Platon, auteur de nombreux ouvrages, n'entend pas, à cinquante-deux ans, en faire son unique horizon. " Mes ambitions sont avant tout intellectuelles. Il faut s'obstiner à écrire, à parler ", affirme-t-elle. Et continuer à cultiver ses (nombreuses) passions : le théâtre, l'opéra, la musique, la natation et, bien sûr, la lecture..."