Revue de presse (suite suite)
Madame Bellosta a rédigé un commentaire (et même deux, pour être exact) à la suite de la précédente revue de presse, qui publiait un article du Canard Enchaîné du 22 novembre. Mais les propos de Madame Bellosta s'adressait à l'auteur ("D. F.") d'un article qui n'avait pas été signalé sur ce blog, et qui avait été publié dans le Canard Enchaîné du 29 novembre dernier. Afin de permettre aux lecteurs de ce blog de comprendre ce à quoi Madame Bellosta fait allusion dans ses remarques, nous publions des extraits dudit article du Canard (p. 8) :
Ethique nerveuse
Monique Canto-Sperber, la fort contestée directrice de l'Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm, passera-t-elle l'hiver ? [...] la reine Monique risque de se retrouver fort dépourvue quand il lui faudra, début 2007, trouver des remplaçants aux dix directeurs des départements littéraires et de la bibliothèque qui ont démissionné le 13 novembre pour protester contre son "incompétence managériale" (cf les "Canard" des 15/11 et 22/11). Mission impossible ! Robien l'a invitée à déjeuner le 22 novembre, mais l'Elysée et Matignon, qui suivent l'affaire, donnent à la directrice un mois pour "ramener la paix dans l'Ecole". Sinon, elle risque la porte.
Se démettre laisserait un peu de temps à cette cumularde, débordée, qui collectionne les fonctions et ne trouve plus le temps de rédiger ses bouquins de philo... On s'en gardera d'en écrire plus, car cette grande spécialiste de l'éthique n'hésite jamais à menacer d'un procès en diffamation ses détracteurs, surtout s'ils s'en tiennent à la stricte vérité. Ainsi, à propos de sa nomination par l'Elysée en novembre 2005, elle a intimidé les profs qui osaient répéter qu'elle avait été classée deuxième par le conseil consultatif chargé d'évaluer les candidatures à la direction. Pourtant, les faits sont là : lors de la séance du 25 octobre 2005, sur les 17 présents, la candidature de Canto-Sperber a recueilli 10 voix contre 11 à son concurrent Gabriel Ruget, le directeur sortant. Et pire, elle a écopé de 5 voes de défiance, contre 2 seulement envers Ruget.
Le suspense va être intenable jusqu'à Noël...
D. F.
Ethique nerveuse
Monique Canto-Sperber, la fort contestée directrice de l'Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm, passera-t-elle l'hiver ? [...] la reine Monique risque de se retrouver fort dépourvue quand il lui faudra, début 2007, trouver des remplaçants aux dix directeurs des départements littéraires et de la bibliothèque qui ont démissionné le 13 novembre pour protester contre son "incompétence managériale" (cf les "Canard" des 15/11 et 22/11). Mission impossible ! Robien l'a invitée à déjeuner le 22 novembre, mais l'Elysée et Matignon, qui suivent l'affaire, donnent à la directrice un mois pour "ramener la paix dans l'Ecole". Sinon, elle risque la porte.
Se démettre laisserait un peu de temps à cette cumularde, débordée, qui collectionne les fonctions et ne trouve plus le temps de rédiger ses bouquins de philo... On s'en gardera d'en écrire plus, car cette grande spécialiste de l'éthique n'hésite jamais à menacer d'un procès en diffamation ses détracteurs, surtout s'ils s'en tiennent à la stricte vérité. Ainsi, à propos de sa nomination par l'Elysée en novembre 2005, elle a intimidé les profs qui osaient répéter qu'elle avait été classée deuxième par le conseil consultatif chargé d'évaluer les candidatures à la direction. Pourtant, les faits sont là : lors de la séance du 25 octobre 2005, sur les 17 présents, la candidature de Canto-Sperber a recueilli 10 voix contre 11 à son concurrent Gabriel Ruget, le directeur sortant. Et pire, elle a écopé de 5 voes de défiance, contre 2 seulement envers Ruget.
Le suspense va être intenable jusqu'à Noël...
D. F.