Revue de presse (suite)
À lire dans Le Canard du mercredi 22 novembre, p. 2 :
"La hussarde de Normale Sup' (suite)
La prestigieuse Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm tangue comme un bateau ivre. La révolte contre son autoritaire directrice, la philosophe Monique Canto-Sperber, ne faiblit pas depuis la démission, intervenue le 13 novembre et révélée par "Le Canard", des dix directeurs des départements littéraires.
Depuis, c'est Mai-68 ou presque [...]
L'intéressée est désormais "mise sous tutelle", selon le mot d'un conseiller de Chirac. [...] "L'important, c'est de tenir encore six mois, jusqu'à la présidentielle", tente de se rassurer le conseiller de l'Elysée.
A vrai dire, une cascade de démissions avait déjà salué, en novembre 2005, la nomination de Canto-Sperber, due à un efficace coup de piston de la conseillère élyséenne Blandine Kriegel, passant outre l'avis de la Commission ad hoc. [...]. Reconnaissante, Canto-Sperber s'était dépêchée de renvoyer l'ascenseur en nommant à la présidence de la Fondation de l'ENS Alexandre Adler. Lequel n'est autre que le mari, à la ville, de son "amie de trente ans" Blandine Kriegel, la conseillère de l'Elysée.
Evidemment".
"La hussarde de Normale Sup' (suite)
La prestigieuse Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm tangue comme un bateau ivre. La révolte contre son autoritaire directrice, la philosophe Monique Canto-Sperber, ne faiblit pas depuis la démission, intervenue le 13 novembre et révélée par "Le Canard", des dix directeurs des départements littéraires.
Depuis, c'est Mai-68 ou presque [...]
L'intéressée est désormais "mise sous tutelle", selon le mot d'un conseiller de Chirac. [...] "L'important, c'est de tenir encore six mois, jusqu'à la présidentielle", tente de se rassurer le conseiller de l'Elysée.
A vrai dire, une cascade de démissions avait déjà salué, en novembre 2005, la nomination de Canto-Sperber, due à un efficace coup de piston de la conseillère élyséenne Blandine Kriegel, passant outre l'avis de la Commission ad hoc. [...]. Reconnaissante, Canto-Sperber s'était dépêchée de renvoyer l'ascenseur en nommant à la présidence de la Fondation de l'ENS Alexandre Adler. Lequel n'est autre que le mari, à la ville, de son "amie de trente ans" Blandine Kriegel, la conseillère de l'Elysée.
Evidemment".